dimanche 29 avril 2012
jeudi 26 avril 2012
Acharnement sur IBAI à la prison de Muret !
Etxeraten oharra:
Martxoaren 29an atxilotu zuten Ibai Peña preso gasteiztarra Baionan, Espainiako Entzutegi Nazionalak bere aurka duen euroagindu bat dela eta. Hau Entzutegi Nazionalak Ibai Peñaren aurka eskatu duen hirugarren euroagindua da; hau dela eta jada bost aldiz atxilotua izan da. Aipatu behar da Ibai Peñak bizimodu normala eta publikoa egiten zuela Baionan.
Gasteiztarra Muret Seysses presondegian espetxeratua izan zen. Bertara heldu zenetik Ibai Peña oso egoera txarrean bizi da, baldintza oso kaskarrekin. Horren erakusle espetxeratu zutenean lehen bi egunak lurrean igaro behar izan zituela, inongo koltxoirik eta mantarik gabe.
Gainera, eguneko 23 ordutan ziegan egoten da isolaturik, eta patiora joan ahal izaten duen ordubete horretan, patiora eman aurretik eta patiotik sartzerakoan biluztu arazi egiten dute (ordubete hori oraindik gehiago murrizten zaiolarik). Horrez gain, ezin izaten du polikiroldegira edo liburutegira joan, ez zaizkio gutunak iritsi eta berak bidalitakoak ere ez dira ailegatu, egunean bitan bakarrik jan ahal izaten du eta gose handia pasatzen ari da… Oraindik bi bisita besterik ez dizkiote onartu, lagun batena eta aitarena, eta ezin izan du beste senitartekorik ikusi. Hori nahikoa ez eta funtzionarioen jarrera ere oso bortitza da Peñarekiko.
Ibai Peña apirilaren 13an elkartu zen zuzendariarekin eta moduluko arduradunarekin egoera alda zezatela eskatzeko, baina, lau egun beranduago egoerak berdin jarraitzen du.
Onartezina da presoak egoera honetan bizitzea. Oinarri-oinarrizko eskubideez hitz egiten ari gara, eta eskubide hauek errespetatuak izan behar dute.
Ibai Peñari idazteko helbidea :
Ibai PEÑA BALANZATEGUI
N ecoru . 20 438
Maison d'arret
Rue Daniele Casanova
BP 85
31603 Muret Cedex
lundi 23 avril 2012
samedi 21 avril 2012
Gernika : 75 ans.
GERNIKA : IL Y A 75 ANS, BOMBARDEMENT DE LA VILLE SACREE DES BASQUES, PAR LES NAZIS, A LA DEMANDE DES FRANQUISTES
mercredi 18 avril 2012
Nazio Manifestaldia: "Indarkeria Poliziala Stop !!"
Apirilak 21 - 17:30etan.
Maria Diaz de Haro nº 13 (Indautxu auzoa * Bilbo)
EHko Herri Mugimenduak
Euskal Antifaxista, zatoz !!
Iñigo Cabacas: Ez adiorik !! Juztizia nahi dugu
Iñigo Cabacas edalontzia gainezkatu duen tanta da.
Erantzukizun politiko eta zibilak eskatzen ditugu modu honetako eskuhartze polizialetan
Herritarrok eta herri mugimenduok ezin dugu gehiago!
Atzo eta gaurko indarkeria polizialaren kontra !!
Kuñak / Cuñas:
http://www.goear.com/listen/2f2838c/kuna-inigo-cabacas-esp-sare-antifascista
http://www.goear.com/listen/d135e70/kuna-inigo-cabacas-eusk-sare-antifascista
Publicado por SARE ANTIFAXISTA en martes, abril 17, 2012
Maria Diaz de Haro nº 13 (Indautxu auzoa * Bilbo)
EHko Herri Mugimenduak
Euskal Antifaxista, zatoz !!
Iñigo Cabacas: Ez adiorik !! Juztizia nahi dugu
Iñigo Cabacas edalontzia gainezkatu duen tanta da.
Erantzukizun politiko eta zibilak eskatzen ditugu modu honetako eskuhartze polizialetan
Herritarrok eta herri mugimenduok ezin dugu gehiago!
Atzo eta gaurko indarkeria polizialaren kontra !!
Kuñak / Cuñas:
http://www.goear.com/listen/2f2838c/kuna-inigo-cabacas-esp-sare-antifascista
http://www.goear.com/listen/d135e70/kuna-inigo-cabacas-eusk-sare-antifascista
lundi 16 avril 2012
Une organisation internationale de soutien aux rroms s’inquiète de leur situation à Lyon
e 21 mars dernier l’ERRC (European Roma Rights Centre) a envoyé un courrier pointant les violences faites au Roms et les expulsions à répétition dont ils sont l’objet au mépris du droit international en région lyonnaise.
[2] Only Lyon ® c’est la marque lyonnaise vendue à l’étranger, censée ramener touristes, gens d’affaires, et industries recommandables genre biotechnologies.
Alors que s’est déroulée dans le plus grand silence en France la journée internationale des Rroms, les politiques lyonnaises menant à des actions répressives et répétitives à l’égard des réfugiés Roms installés sur Lyon ou dans les communes avoisinantes ont trouvé un écho particulièrement défavorable au sein d’une organisation internationale de défense des droits de l’Homme combattant le racisme et les discriminations anti-rroms. L’ERRC a donc fait parvenir à nos élus un courrier des plus explicites quant aux droits des Rroms ainsi qu’aux mauvais traitements dont ils sont victimes par chez nous.
Dans son courrier en date du 21 mars, l’European Roma Rights Centre (ERRC) tient à informer les élus (maires et élus concernés) et le préfet de leur préoccupation quant aux multiples évacuations et violences survenues à Lyon et Vaulx-en-Velin ces deux dernières années [1].
Ce courrier leur demande très officiellement de respecter un certain nombre de droits, parmi lesquels différents articles de la Convention européenne des droits de l’homme :
Pourtant, à Lyon comme ailleurs, des associations s’engagent pour les défendre et les aider à se nourrir , se reloger, scolariser les enfants, faire des démarches administratives, se portent garants... mais ce type d’aide est en plus réprimée. Finalement, et c’est certainement ce que veulent les politiciens locaux, la majeure partie de la population préfère baisser les yeux sur les soucis des rroms et adhérer sans sourciller aux plus idiots préjugés qui ont perduré à leur encontre depuis des siècles.
L’éclat international de la ville de Lyon ne brille décidément pas des mêmes feux selon que vous serez prince saoudien ou défenseur des droits de l’homme, VRP américain ou rrom. On peut désormais dire au sujet des rroms en Europe, « Only Lyon et la Hongrie » [2].
Dans son courrier en date du 21 mars, l’European Roma Rights Centre (ERRC) tient à informer les élus (maires et élus concernés) et le préfet de leur préoccupation quant aux multiples évacuations et violences survenues à Lyon et Vaulx-en-Velin ces deux dernières années [1].
Madame, Monsieur, (…)Après la Hongrie, la Tchéquie et la Slovaquie, qui ont déjà donné lieu à des rapports transmis à la Commission Européenne par l’ERRC, voila que la région lyonnaise s’inscrit dans la liste des régions aux politiques les plus affligeantes...
Nous tenons à vous informer de notre préoccupation quant aux multiples évacuations et violences survenues à Lyon et Vaulx-en-Velin. Nous appelons les autorités à fournir un hébergement sûr à cette communauté Rom qui est aujourd’hui en danger.
La dernière évacuation eu lieu le 27 février, au total 130 Roms (dont 35 enfants) furent expulsés par la police nationale et la police aux frontières d’un bâtiment scolaire. Les familles étaient dans ce bâtiment car leur squat avait brûlé le 24 février 2012. Les familles sont entrées dans le bâtiment scolaire le 25 février4 et ce même jour la municipalité de Vaulx-en-Velin leur a notifié un ordre de quitter l’école.5 La police les a expulsé deux jour plus tard.
D’après les déclarations des représentants de la municipalité, la mairie n’était pas informée de la décision de la préfecture d’expulser les familles. L’évacuation fut exécutée malgré le plan initial de la municipalité qui était de recourir au juge administratif pour demander une ordonnance d’expulsion. Ce qui aurait laissé le temps effectif pour les personnes de se préparer. (…)
Ce courrier leur demande très officiellement de respecter un certain nombre de droits, parmi lesquels différents articles de la Convention européenne des droits de l’homme :
- article 3 (interdiction de la torture ou les traitements inhumains ou dégradants),
- article 8 (respect de la vie privée et familiale et du domicile) et
- article 14 (interdiction de la discrimination),
- et (last but not least) l’article 6 (droit de demander réparation ou une satisfaction suffisante pour tout dommage subi à la suite de la discrimination) de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale.
L’Etat a une obligation d’offrir un hébergement à chaque personne se trouvant dans une situation exceptionnelle et personne ne peut la priver de son droit de rester dans hébergement aussi longtemps que durent la situation exceptionnelle.Rappelons qu’en 2010 l’Etat français avait été sérieusement rappelé à l’ordre par la Commission et le Parlement européens, nous avons vu la portée de ces avertissements sur les décisions et agissements politiques et policiers et la discrimination sans nom dont ont été victimes les Rroms jusqu’à aujourd’hui.
Etant donné que tant la municipalité que la préfecture ont failli à pourvoir un logement adéquat ou un logement tout court en accord avec les standards internationaux pertinents, l’ERRC appelle les autorités concernées à :
Fournir un logement pour les familles expulsées ;
Mettre fin à la pratique des expulsions sans notification adéquate ni procédure régulière et assurer un logement adéquat aux familles roms à Lyon et Vaulx en Velin ;
Veiller à ce qu’aucun rom ne soit fait sans-abri suite au processus d’expulsion ;
De développer des solutions durables de logements adéquats pour tous les Roms se trouvant en situation précaire et mettre en oeuvre de projets intégrés d’accès à l’emploi, l’éducation et la santé pour promouvoir une réelle intégration des Roms à dans l’agglomération lyonnaise ;
D’assurer l’identification et la poursuite des auteurs d’agressions contre les Roms.
Pourtant, à Lyon comme ailleurs, des associations s’engagent pour les défendre et les aider à se nourrir , se reloger, scolariser les enfants, faire des démarches administratives, se portent garants... mais ce type d’aide est en plus réprimée. Finalement, et c’est certainement ce que veulent les politiciens locaux, la majeure partie de la population préfère baisser les yeux sur les soucis des rroms et adhérer sans sourciller aux plus idiots préjugés qui ont perduré à leur encontre depuis des siècles.
L’éclat international de la ville de Lyon ne brille décidément pas des mêmes feux selon que vous serez prince saoudien ou défenseur des droits de l’homme, VRP américain ou rrom. On peut désormais dire au sujet des rroms en Europe, « Only Lyon et la Hongrie » [2].
Notes
[1] Voir l’article du 17 mars sur les derniers évènements à Vaulx en Velin[2] Only Lyon ® c’est la marque lyonnaise vendue à l’étranger, censée ramener touristes, gens d’affaires, et industries recommandables genre biotechnologies.
Un cadre du FN poursuivi pour violence
AFP Publié le 03/04/2012 à 19:19 Réactions (3)
Le secrétaire départemental du FN dans la Haute-Vienne, Vincent Gérard comparaîtra le 19 juillet devant le tribunal correctionnel de Limoges pour "violences sous la menace d'une arme" dans un bar de la ville, a-t-on appris mardi de sources judiciaire et policière.
Dans la nuit de dimanche à lundi, après une réunion de la section locale du parti d'extrême droite à Limoges, Vincent Gérard, 46 ans, artisan-électricien, et trois militants du FN, s'étaient rendus dans un bar très fréquenté du centre-ville.
Selon un témoin interrogé par une correspondante de l'AFP, le groupe, dont l'un des membres était armé d'une batte de baseball, s'est mis à proférer "un flot de propos haineux". "Vous êtes tous des sales communistes ici et des petits bourgeois" a notamment lancé l'un d'entre eux, cité par ce témoin. "Ils ont dit clairement qu'ils étaient là pour 'casser de l'étudiant de gauche'", a expliqué à l'AFP le propriétaire du bar, Franck Biscarrat, précisant qu'un autre membre du groupe était muni d'une matraque télescopique. "Tous portaient la flamme tricolore du FN sur leur veste", a-t-il ajouté.
Alertée, la police, accueillie sur place par des coups, a finalement réussi à maîtriser l'homme à la batte alors que les trois autres membres du groupe s'enfuyaient, avant de revenir sur les lieux, une fois les policiers repartis, pour de nouvelles violences. "J'ai réussi à esquiver le coup de couteau que l'un d'entre eux (Vincent Gérard) essayait de me mettre dans le ventre et c'est à ce moment là qu'un autre m'a mis un coup au visage avec un gros câble électrique", a indiqué à l'AFP Franck Biscarrat.
Les trois hommes ont finalement été interpellés par la police. Vincent Gérard, candidat du Front national aux régionales de 2010 et aux cantonales de 2011 est poursuivi pour "violences sous la menace d'une arme" tandis que le militant qui a usé d'une matraque devra lui comparaître pour "violences avec armes".
Le secrétaire départemental du FN dans la Haute-Vienne, Vincent Gérard comparaîtra le 19 juillet devant le tribunal correctionnel de Limoges pour "violences sous la menace d'une arme" dans un bar de la ville, a-t-on appris mardi de sources judiciaire et policière.
Dans la nuit de dimanche à lundi, après une réunion de la section locale du parti d'extrême droite à Limoges, Vincent Gérard, 46 ans, artisan-électricien, et trois militants du FN, s'étaient rendus dans un bar très fréquenté du centre-ville.
Selon un témoin interrogé par une correspondante de l'AFP, le groupe, dont l'un des membres était armé d'une batte de baseball, s'est mis à proférer "un flot de propos haineux". "Vous êtes tous des sales communistes ici et des petits bourgeois" a notamment lancé l'un d'entre eux, cité par ce témoin. "Ils ont dit clairement qu'ils étaient là pour 'casser de l'étudiant de gauche'", a expliqué à l'AFP le propriétaire du bar, Franck Biscarrat, précisant qu'un autre membre du groupe était muni d'une matraque télescopique. "Tous portaient la flamme tricolore du FN sur leur veste", a-t-il ajouté.
Alertée, la police, accueillie sur place par des coups, a finalement réussi à maîtriser l'homme à la batte alors que les trois autres membres du groupe s'enfuyaient, avant de revenir sur les lieux, une fois les policiers repartis, pour de nouvelles violences. "J'ai réussi à esquiver le coup de couteau que l'un d'entre eux (Vincent Gérard) essayait de me mettre dans le ventre et c'est à ce moment là qu'un autre m'a mis un coup au visage avec un gros câble électrique", a indiqué à l'AFP Franck Biscarrat.
Les trois hommes ont finalement été interpellés par la police. Vincent Gérard, candidat du Front national aux régionales de 2010 et aux cantonales de 2011 est poursuivi pour "violences sous la menace d'une arme" tandis que le militant qui a usé d'une matraque devra lui comparaître pour "violences avec armes".
mercredi 11 avril 2012
Iñigo Cabacasen heriotzari erantzun bateratua emango diote Bilboko eragile eta kolektiboek
Bilboko branka * E.H
Gaur arratsaldean, 18:00etan, asanblada irekia deitu dute Ekoetxean, Zazpikaleetako Pilota kalean. Datozen egunetarako mobilizazioak iragarri dituzte baina oraindik ez dute orduaren eta tokiaren inguruko zehaztapenik eman. Bihar azalpen gehiago emango dituzte prentsaurrekoan.
Eleak mugimendua, Euskadiko Gazte Kontseiluak, Sare Antifaxistak eta bestea hainbat eragile eta kolektibok deituta asanblada egingo dute gaur Ekoetxean (Alde Zaharra), Iñigo Cabacasen heriotzaren aurrean erantzun bateratu bat adosteko...
http://bilbokobranka.info/?p=20525
Gaur arratsaldean, 18:00etan, asanblada irekia deitu dute Ekoetxean, Zazpikaleetako Pilota kalean. Datozen egunetarako mobilizazioak iragarri dituzte baina oraindik ez dute orduaren eta tokiaren inguruko zehaztapenik eman. Bihar azalpen gehiago emango dituzte prentsaurrekoan.
Eleak mugimendua, Euskadiko Gazte Kontseiluak, Sare Antifaxistak eta bestea hainbat eragile eta kolektibok deituta asanblada egingo dute gaur Ekoetxean (Alde Zaharra), Iñigo Cabacasen heriotzaren aurrean erantzun bateratu bat adosteko...
http://bilbokobranka.info/?p=20525
mardi 10 avril 2012
vendredi 6 avril 2012
Attaque fasciste: 1 blessé grave
Dimanche 1er avril vers 1 heure du matin, une fois de plus les fachos toulousains se sont à nouveau manifestés place Arnaud Bernard.
La place Arnaud Bernard était animée par la fête et la convivialité comme à son habitude, quand un groupe fit irruption sur la place. Une vingtaine d’individus groupés marchant au pas et plus ou moins cagoulés arrivent du boulevard Lascrosses. La démarche et l’attitude agressive des individus ne laissent pas planer beaucoup de doute : « c’est les fachos » crient certains fêtards de la place. En effet, ils parcourent la place en provoquant les badauds. Devant le regard médusé des gens en terrasse, les individus ont crié « Toulouse hooligans » tout en effectuant des saluts hitlériens. Après quelques minutes de latence, l’ensemble des gens sur la place ont vivement réagi pour repousser les assaillants qui avaient commencé à s’attaquer à la terrasse d’un café et aux clients d’un kebab.
En s’enfuyant vers la place Saint Sernin, les fachos ont grièvement blessé un étudiant chilien. L’intervention d’un témoin lui aura certainement sauvé la vie. En effet la victime dans le coma a été transférée à l’hôpital. Le pronostic vital fut au cours de la soirée engagé. L’état de la victime s’est amélioré dimanche après-midi. Sorti du coma, le blessé souffre de multiples fractures de la boite crânienne et d’une paralysie des membres. Selon nos informations datant de dimanche soir, la paralysie ne serait pas définitive.
Plus tard, une partie des gens qui venaient de se faire attaquer place Arnaud Bernard décidèrent d’aller demander des comptes aux fachos en allant à leur local du 36 allée de Barcelone. Avant même qu’ils arrivent à la porte, la police est intervenue en tirant au flashball. S’en suivi un contrôle d’identité et une fouille. La police effectua 5 interpellations. 4 personnes ont rapidement été libérées dans l’heure qui suivit. La cinquième personne est toujours en garde à vue lundi midi. A notre connaissance aucun affrontement n’a eu lieu non plus place Saint-Pierre.
Une fois de plus les fachos n’ont pas été inquiétés, malgré une ratonnade qui a failli coûter la vie à une personne, ils ont pu tranquillement continuer leur soirée. La police a été plus efficace défendre le local du Bloc Identitaire, que pour protéger les toulousains qui festoyaient à Arnaud Bernard… Nous nous étonnons de l’attitude des forces de l’ordre. Il semblerait que les « enquêteurs » croient tenir le « coupable idéal » de l’agression de l’étudiant. Selon nos informations, l’accusé était vers la place Saint Pierre au moment de l’agression. De plus l’accusé est antifasciste alors que l’étudiant a été agressé pas des fascistes ! En conséquence, nous demandons la libération immédiate de l’interpellé.
Plus qu’une rixe entre extrêmes, ce qui s’est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche, s’apparente plus à une volonté de la part de jeunes hooligans d’extrême droite et des militants identitaires de venir agresser des personnes représentant tout ce qu’ils détestent à souhait : des manifestants occitanistes fêtant la réussite de leur manifestation, des populations d’origine étrangère, des jeunes de gauche, des kebabs, surtout une place et quartier symbolisant la diversité des cultures et le métissage qu’ils exècrent.
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